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« Comme une fille » ou comment des préjugés conditionnent nos pensées, nos actions voire notre avenir ?

Il était une fois une petite phrase insidieuse, répétée au son d’une douce rengaine, entendue depuis tellement de temps qu’elle s’est inscrite en nous.

Il en existe des multitudes « tu ne sais pas faire », « sois humble », « on ne change pas de caractère », « pleure tu pisseras moins » et celle que j’ai retenue ici parce que c’est ma préférée « comme une fille » !

Cette expression implique quelque chose de négatif. Lorsque qu’on entend cette phrase c’est souvent pour moquer ou minimiser les capacités féminines.

A force de populariser ces « énergies verbales négatives », nous les enregistrons. Plus nous grandissons, plus nous nous conformons à ces injections da façon automatique.

Les jeunes filles qui s’imprègnent de ce préjugé en deviendront finalement elles-mêmes un relai.

Même s’il s’agit d’une pub pour la marque Always, la vidéo diffusée en 2020 intitulée « Depuis quand faire les choses « comme une fille » est devenue une insulte ? » est percutante.

Pour ceux qui ne l’ont pas vu, je vous invite à la regarder => Pub « Comme une fille »_Always

Les conséquences de ces préjugés sont désastreuses.

A cause d’eux…, nous nous empêchons de vivre nos rêves, vivons dans des croyances limitantes, sommes entravées, subissons, n’exprimons pas notre plein potentiel et le pire nous nous y habituons…

Revenons à « comme des filles » qui est inscrit aujourd’hui dans l’inconscient collectif et disgressons un peu sur les conséquences et l’effet boule de neige…

« Comme une bonne fille », il faudra s’occuper de ses proches et choisir un travail à temps partiel ou optimiser sa présence à temps plein au travail pour assurer ensuite le travail « familial » invisible.

Claudia Goldin, prix nobel d’économie en 2023 a démontré dans ses travaux que les employeurs avaient tendance à récompenser lors des promotions et des augmentations, les salariés qu’ils voient le plus au travail… et ce même si leur efficacité n’est pas démontré…

Depuis 8 ans, Gloria Media met en lumière dans sa newsletter les Glorieuses, l’inégalité salariale homme-femme.

En 2024, les femmes ont ainsi commencé à travailler gratuitement à compter du 8 novembre à 16h48 et 15 secondes. Evidemment l’image vise à marquer, quand bien même cet écart salarial soit démontré statistiquement.

Comment renverser la vapeur et limiter les effets au quotidien de ce préjugé qui a conduit insidieusement à minimiser les capacités des femmes mais surtout à manquer d’une multitude d’exemples de femmes dans toutes les strates de la société et à tous types de postes ?

Comment nos petites filles peuvent s’imaginer devenir astronaute, réalisatrice, chef d’orchestre, PDG voire présidente alors qu’il s’agit d’une minorité peu visible ?

Quel exemple leur donnons nous ?

Avez-vous par ailleurs noté, comme quelques observateurs, qu’à l’occasion des élections présidentielles américaines, les candidats n’étaient pas désignés de la même façon ? L’utilisation du nom pour Trump visait à afficher des notions de sérieux et de respectabilité alors que l’utilisation du prénom pour Kamala visait à renvoyer à quelque chose de plus familier, accessible et peut-être moins sérieux

Mais une fille est moins fiable et sécurisant qu’un homme, non ??? Préjugé ???

Bref, tout ça pour dire qu’une simple ritournelle qui peut semblait anecdotique tout en s’estimant objective peut finalement nous conditionner et nous limiter.

Heureusement, ce n’est pas une réelle contrainte et chaque filtre bloquant peut disparaitre pour que vous puissiez atteindre votre plein potentiel.

Vous pouvez faire sauter les verrous et la sophrologie, entre autres, peut vous y aider 

Barbara Pravi - Notes pour trop tard (réécriture) x Le malamour
« Petite, prends de l’élan, la vie c’est une course de fond, t'as besoin d’entraînement
Tu monteras des projets qui se casseront la figure, mais relève-toi, trouve une échelle et escalade les murs
Tu veux devenir patronne, alors deviens patronne
Ne laisse personne te dire que t’es pas assez bonne »

Relaxation octobre

En ce mois d’octobre et plus particulièrement cette journée où nous venons de changer d’heure, je vous propose une audio de 5 min pour vous détendre et vous offrir ainsi une pause dans votre quotidien.

La photo représente une pièce de la Maison des Embrumes dédiée à l’univers d’Harry Potter à Rouen. N’hésitez pas à leur rendre visite ! https://www.airbnb.fr/rooms/925755560197210063?_set_bev_on_new_domain=1730049552_EAOTQ1Y2ViZGMwZm Si je devez choisir maintenant un endroit pour me détendre, sans surprise je me dépêcherai de trouver un portoloin pour rejoindre cette demeure…

A votre tour, trouvez l’endroit qui vous convient le mieux, installez y vous confortablement et laissez vous guider 🙂

« Soyez vous même, tous les autres sont déjà pris. » Oscar Wilde

Ce trait d’humour d’Oscar Wilde énonce une évidence. Chacun d’entre nous a sa place ici-bas.

Acceptons nos qualités, nos défauts, nos idées, notre style…

Osons être authentique et nous affirmer sans se soucier d’être comme… comme il faut ; comme ma super collègue, comme cette fantastique maman que je croise à l’école tous les jours, comme cette sublime nageuse du mardi midi etc.

Cette citation me fait toujours un peu penser à l’oeuvre d’Huxley  » Le meilleur des mondes » dans laquelle est imaginée une société future basée sur un système de castes, un monde où il n’y a pas de place à l’individualisme et à l’authenticité.

Toutefois, vouloir à tout prix, aujourd’hui, se distinguer en mettant en exergue son individualité me semble ironique, voire dangereux.

Nous partageons tous beaucoup de choses, en premier cette terre où nous vivons 🙂 et passons notre temps à essayer, avec plus ou moins de difficultés à vivre ensemble. Ne serait-il pas préférable de souligner nos points de convergence plutôt que nos divergences ?

Certes il est préférable d’être authentique avec nos convictions, nos envies, nos idées, nos préférences…mais cela n’empêche pas de partager cela avec d’autres.
Je suis ravie de partager le style de ma voisine, d’avoir le même avis que ma meilleurs amie sur le dernier album de Queen B et même être agacée, comme l’est gardien d’immeuble que je n’apprécie pourtant pas beaucoup, du comportement du locataire du 5ème étage.

Finalement, soyons mesuré en tout !

Veillons à rester authentique, bien dans ses baskets, mais acceptons de partager certaines facettes de notre « individualité » pour mieux vivre tous ensemble.

Tout comme
Laetitia Sioen

Comme un bisou boomerang qui tangue dans ma tête et dans mon cœur.
Comme un tambour qui sonne creux et vibre fort.
Comme une forteresse qui se dresse, comme un affront maladroit.
Comme une larme qui crame sans couler, sans couleurs et qui meurt. Comme le vent qui sonne et m’arrache.
Comme l’oiseau qui s’écrase avant de toucher le sol.
Comme toi qui crois encore en un possible,
comme moi qui n’y crois plus.
Comme des couleurs jetées, des sentiments avoués,
comme le verre qui déborde de mon humeur passagère.
Comme ceci,
comme cela,
comme-ci,
comme-ça.
Comme si tout allait bien,
comme les faux semblants,
comme les pourquoi du comment,
comme des toujours à jamais, comme un rien et c’est tout.

Laetitia Sioen, 2018

Welcome autumn !

« Autumn carries more gold in its pocket than all the other seasons. » Jim Bishop, journaliste américain

« L’automne porte plus d’or dans sa poche que toutes les autres saisons. »

À la faveur de l'automne revient cette douce mélancolie
Un, deux, trois, quatre, un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies
.
A la faveur de l'automne - Tété

La meilleure saison de l’année… selon moi ! 🙂

La lumière et la chaleur du soleil nous quittent tout doucement. Ils nous honorent de leur présence quelques moments dans la journée puis disparaissent comme s’il y avait mieux à faire ailleurs.

La nature se pare de sublimes couleurs, l’air se remplit d’une odeur herbale plus subtile et l’air devient vivifiant et humide.

C’est le parfait moment pour s’évader en forêt, compter les nuances de jaunes, rouges, verts et marrons de la riche palette de la nature, sauter dans quelques flaques d’eau, sentir craquer sous nos pieds ce qui n’est plus puis rentrer chez soi, se poser dans un confortable fauteuil, s’enrouler dans un plaid moelleux, boire un chocolat chaud parfumé à la cannelle et parsemé de guimauves, s’échapper dans une ambiance romanesque tout un grignotant une part de carrot cake.

Cet automne, je choisis sans aucun doute de :

  • regarder Robin des Bois, Gilmore Girls, Hocus Pocus, Coco, Vous avez un message, Un soupçon de magie; Beetlejuice, La famille Addams…
  • relire Outlander (1, 2 & 3 voire 4), les Fleurs du mal, Royaume magique à vendre, Le noeud de la sorcière, Whisky, scones & chardons…
  • déguster des chocolats viennois aromatisés aux épices, du carrot cake, du bananabread, du brownie, du velouté de courge et du thé à la pomme et caramel…
  • écouter Tété, Maneskin, Lady gaga – Bloody Mary, Luis Armstrong…

Et vous ? 🙂

Carpe diem

« Carpe diem quam minimum credula postero »…ou « Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain ». 

Horace l’a inscrite au dernier vers de l’un de ses poèmes, dans son livre I des Odes

Il tente d’y persuader Leuconoé, une jeune fille voulant avoir une vie très longue, qu’il n’y a d’important que l’instant présent. Elle ne sait quand la mort la frappera, il faut donc qu’elle soit pleinement heureuse et qu’elle profite de chaque jour qui passe, sans rien remettre au lendemain.

S’inscrire dans l’instant présent ne signifie pas vivre son quotidien dans la luxure, de façon démesurée et extrême.

Cette citation nous invite à vivre pleinement chaque jour en étant présent à ce que nous faisons ici et maintenant. 

Lâchons le mental qui anticipe un avenir incertain et regrette un passé révolu.

À ne pas être dans l’instant présent, nous passons à côté de jolis moments, de plaisirs partagés, d’éclats de rire…

Si je passe mon temps à projeter mes idées, rêves, tâches futures…et à plonger dans un passé sur lequel je n’ai plus de prise, je ne suis alors plus attentive aux petits bonheurs du quotidien. Je me perds dans des vies parallèles. 

Il ne s’agit pas d’ignorer ce que nous avons été ou tend à être mais simplement à nous inscrire dans la réalité.

Je ne changerai pas aujourd’hui ce qui a déjà été fait et je ne peux savoir aujourd’hui ce qui sera réellement demain.

Cela peut créer une nostalgie excessive ou des peurs infondées qui m’empêchent d’avancer sereinement sur mon chemin de vie.

Prenons le temps de lire, nous promener, observer, jouer avec nos enfants, faire du sport, cuisiner, jardiner, écrire, dessiner, siester, rêver, chanter, festoyer 🙂 etc. 

Estimer qu’il faille le bon moment, le bon endroit, la bonne météo, la bonne tenue… est un leurre, un moyen d’échapper à ce qui nous anime là tout de suite.

« C'est maintenant, mais pas après
Chéris l'instant, balaie le passé
Certains voudraient vivre vieux
C'est une erreur, faut vivre mieux
Maintenant, mais pas après
Chéris les gens, balaie les regrets
Certains voudraient vivre vieux
Moi, j'ai pas l'heure
Tant mieux
Certains voudraient vivre vieux
Moi, j'veux partir
Heureux »

Extrait de la chanson « Maintenant » de Renaud et Vianney 

Vivons d’amour et de créations !

« La créativité, c’est inventer, expérimenter, grandir, prendre des risques, briser les règles, faire des erreurs et s’amuser. » Mary Lou Cook

Nous avons tous cette capacité d’imaginer et de réaliser quelque chose de nouveau.

Toutefois, plus nous grandissons, plus cette créativité peut-être contrainte.

En 1995, dans son livre « The book of Doing and Being : Rediscovering creativity in life, love and work », Barnet Bain (producteur, réalisateur, scénariste et cinéaste) révèle que 98% des enfants de 3 ans ont des résultats de génies créatifs quand ils sont testés, et pourtant ils ne sont plus que 2% des diplômés d’université à obtenir de tels résultats.

L’emprise du mental et de l’égo que nous développons en grandissant, conduit à se dire que : « nous sommes nuls, incapables, que nous ne savons pas faire, que ça ne sert à rien » etc. et cela nuit grandement à notre créativité.

Celle-ci ne naît pas dans la tête mais dans notre coeur ! Nos émotions nous animent pour créer.

Une fois que l’intention de créer est actée 🙂 alors la création a besoin de la matière, autrement dit de l’engagement du « corps » pour prendre vie. Ainsi, lorsqu’Einstein était bloqué sur un problème, il sortait de sa tête et allait jouer du violon, faire une sieste… Il rentrait dans son corps et se coupait du mental qui peut se révéler être un frein à la création. Me tête me dit aisément « je n’y arriverai jamais », « je ne sais pas », « je suis nulle » etc. et cela conduit à l’inaction voire l’abandon.

Pourtant, créer agit de façon positive sur le corps et l’esprit. Les activités créatives telles que la couture, le tricot, la cuisine, le dessin, le jardinage ou autre, offrent un refuge, un moment de calme et de détente. Cela permet notamment de vider l’esprit, attiser la curiosité, gagner en confiance, apaiser des douleurs…

Et vous ?? Avez-vous créé aujourd’hui ?? Avez-vous pris le temps de rêver ??

Pour stimuler votre créativité, voici quelques petits jeux à faire :

  • jeter qqles pièces, trombones, jetons… sur une surface plane puis jouer avec en les alignant, les empilant, créant de la symétrie ou de l’assymétrie, des formes connues…
  • bousculer vos habitudes, en changeant l’ordre des étapes, le rythme…
  • écrire chaque jour dans un carnet vos pensées
  • choisir un objet courant du quotidien et trouver des utilisations inhabituelles (ex. se brosser les cheveux avec une fourchette).Attention, les plus créatifs pourront avoir jusqu’à 20 idées 🙂
Retrouvez votre âme d'enfant, laissez vagabonder votre imagination et osez accueillir pleinement et sans jugement la nouveauté :) 

« Sois le changement que tu veux voir dans ce monde » Mahatma Gandhi

J’ai un idéal et j’aimerais évoluer dans un monde plus responsable, solidaire, écologique, apaisé, tolérant, zen…

Je me plains du monde actuel et me lamente sans chercher à initier moi-même, à une plus petite, échelle les changements souhaités.

Or, vouloir vivre dans mon monde idéal implique d’abord que j’apporte ma pierre à l’édifice.

A une plus petite échelle et en cette période de rentrée, je vais me plaindre de la charge de travail post vacances estivales qui sera importante et me sentir noyée sous les tâches. Si j’acceptais cette réalité de retour de congés et décidais d’adopter des stratégies d’organisation efficaces, de prendre du temps pour me détendre en lisant, méditant etc. ma reprise professionnelle serait simplifiée et je serai plus zen et détendue.

De plus, la rentrée scolaire va marquer le retour de mon syndrome du parent élitiste :), à savoir être exigeante envers mon enfant qui ne progresserait pas de façon suffisante, selon moi, dans ses apprentissages. Cette obstination va créer un climat tendu où solidarité et apaisement auront disparu alors même que je recherche cette ambiance familiale qui ne peut qu’être positive pour tout le monde. Par conséquent, je pourrai déjà me rappeler ma propre expérience scolaire 🙂 et laisser du temps à mon enfant pour avancer à son rythme, valoriser les échecs (indispensables pour progresser), l’encourager dans ses efforts, le soutenir et ainsi créer un climat de confiance détendu où chacun se sentira bien et pourra avancer en confiance.

Il est aisé de pointer ce qui ne va pas et se complaire dans ce constat mais n’oublions que nous avons le pouvoir de faire avancer les choses, même de façon minime. Choisir d’être à son écoute et développer une attitude positive ne peut-être que bénéfique. 🙂

« L’obscurité ne peut pas chasser l’obscurité, seule la lumière le peut. La haine ne peut pas chasser la haine, seule l’amour le peut. » Martin Luther King.

Pensées positives

Selon une étude canadienne menée par des chercheurs en neurosciences et publiée en 2020, nous serions traversés d’environ 6 200 pensées par jour.

Blaise Pascale avait déjà défini au XVIIème siècle l’homme d' »être pensant » mais avait-il idée de ce flux de pensées quotidiennes ?

« L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature; mais c’est un roseau pensant. »

A quoi pensons nous ? Quelle influence ont nos pensées ? Impactent elles nos émotions ? Nous rendent elles triste ou joyeux ?

La pensée positive aurait des bénéfices et nous aiderait à atteindre nos objectifs.

Emile Coué l’a expérimenté au début du XXème en créant une méthode d’autosuggestion consistant à répéter chaque matin devant sa glace 20 fois « Tous les jours, à tout point de vue, je vais de mieux en mieux« . L’imagination et l’inconscient influenceraient la réalité.

Selon plusieurs études plus récentes, à savoir celle menée par l’université du Michigan en 2011 révélant que les personnes de plus de 50 ans ont moins de risques de faire un AVC s’ils ont une vision optimiste de l’existence, celle de l’université du Wisconsin publiée en 2003 relevant que la vision optimiste de l’existence boosterait les défenses immunitaires ou bien encore l’étude de l’université de Lorraine de 2018 établissant que la répétition quotidienne de phrases positives pouvait réduire le stress, force est de constater que colorer notre esprit en rose ou autre couleur lumineuse de votre choix serait bénéfique.

Il est vrai que je vis mieux ma journée si les nouvelles sont bonnes 🙂

Alors, régulièrement, je fais une cure de citations ou mots positifs (c’est à dire « mot » qui par sa sonorité me fait sourire… personnellement, le mot « bubble gum » me met de bonne humeur !).

Je prends un bocal ou une boîte que je décore et remplis de pensées positives dont vous trouverez quelques exemples célèbres à la fin de cet article.

J’apprécie encore plus les préparer pour mes proches afin qu’ils puissent y piocher douceur et encouragement dès qu’ils ressentent le besoin de sourire ou d’être soutenus.

Toutefois, la pensée positive est certes bénéfique mais ne saurait être magique !

Ne vous en privez pas pour vous booster et pour vous placer dans un bon mood pour réaliser vos objectifs et rêves mais ne pensez pas qu’il suffit simplement de penser positivement pour transformer votre vie !

Soyez un acteur motivé et pas seulement un spectateur enjoué 🙂

Quelques citations positives :

« Le bonheur n’est pas toujours dans un ciel éternellement bleu, mais dans les choses les plus simples de la vie. » Confucius

« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. » Mark Twain

« Agissez comme s’il était impossible d’échouer. » Winston Churchill

« Si tu vois tout en gris, déplace l’éléphant« . Proverbe indien

« Souriez afin que vos rides, plus tard, soient bien placées. » Ménie Grégoire

« Ils ont fait ce qu’ils pensaient juste, et j’ai fait ce que je pensais juste. » Mohamed Ali

« Votre histoire vous appartient, et elle vous appartiendra toujours. A vous de vous en emparer. » Michelle Obama